Né un 4 juillet
EAN13
9782363740588
ISBN
978-2-36374-058-8
Éditeur
13ème note éditions
Date de publication
Collection
13EME NOTE EDIT
Dimensions
18 x 14 x 1,8 cm
Poids
250 g
Langue
français
Langue d'origine
anglais
Fiches UNIMARC
S'identifier
Indisponible
"Né un quatre juillet" est un titre incontournable sur l’avant et l’après Vietnam. En 1964, Ron Kovic, volontaire pour le Vietnam, en revient paraplégique et remet en question toutes les valeurs qui ont forgées son identité : famille, religion, politique. La lecture du livre est immédiatement prenante. Kovic raconte dans un premier chapitre d’une grande intensité comment après s’être engagé, il se retrouve paralysé à vie. Commencent alors de longues périodes de soins et d’humiliations : le séjour dans un hôpital militaire du Bronx insalubre, les relations conflictuelles avec sa mère, la perte d’assurances, l’impuissance par rapport aux femmes, etc. Sa réintégration est extrêmement difficile pour lui comme pour de nombreux autres vétérans. L’impression d’être rejeté par la société américaine et sa propre famille, la perte de ses illusions l’encouragent à séjourner au Mexique loin de ses compatriotes qui ignorent les soldats diminués, traumatisés par cette guerre. Là-bas, rencontrant des types aussi perdus que lui, coincés dans leur fauteuil roulant, Ron Kovic apprend à surmonter son handicap. Il se refait une santé au soleil mais la mort du jeune marine qu’il a tué accidentellement au Vietnam lors d’une embuscade le hante. Ron Kovic retrouve une certaine sérénité au fil des années en se battant pour une seule cause valable à ses yeux : la paix.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Commentaires des lecteurs

9 avril 2014

Patriote (car né le 4 juillet, jour de la fête nationale), le jeune Américain Ron Kovic s'engage dans les Marines. Après un entraînement commando, il prend part à la guerre du Vietnam et en reviendra paralysé à vie. Ce livre ...

Lire la suite

Conseillé par
3 mars 2014

Plaidoyer pour la paix.

Un livre vérité qui a inspiré le cinéaste américain Oliver Stone pour le film du même nom. Comment certains idéaux américains ont sacrifié une génération de jeunes hommes pour se terminer plusieurs années après au prix de centaines de milliers ...

Lire la suite