- EAN13
- 9782702144466
- ISBN
- 978-2-7021-4446-6
- Éditeur
- Calmann-Lévy
- Date de publication
- 07/05/2013
- Collection
- Cal-Lévy-France de toujours et d'aujourd'hui
- Nombre de pages
- 448
- Dimensions
- 23 x 15 x 2,9 cm
- Poids
- 655 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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La Dame de Roz-Avel
roman
De Joël Raguénès
Calmann-Lévy
Cal-Lévy-France de toujours et d'aujourd'hui
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Un magnifique hommage à la terre bretonne à travers l’amitié tumultueuse de deux femmes, de tête et de coeur, extraordinairement attachantes.
1893, Ouest Bretagne. Gabrielle, la quarantaine, est l’heureuse propriétaire de Roz Avel, l’hôtel-restaurant de la gare, à Landivisiau où son époux est courtier en chevaux. Elle est très liée à Marie, son aînée, dont elle a été la protégée avant de devenir l’amie. Mais le décès de Bart, l’époux de Marie, bouleverse leur vie à tous.
Tandis que Jean-Mi remplace, à dix-neuf ans, son père à la tête des commerces de la famille à Penzé, Marie se réfugie dans la religion dont s’éloigne peu à peu Gabrielle. La politique anticléricale du gouvernement Combes à partir de 1902 accroît les motifs de tension entre elles au point que Marie provoque la rupture des fiançailles entre Jean-Mi et Jeanne, la cadette de Gabrielle, qui s’aiment passionnément. Lorsque sa mère lui apprend que Jeanne, à nouveau amoureuse, se marie, Jean-Mi se résigne à une union de convenance.
Brouillées, les deux amies trouvent le réconfort près des leurs, mais elles sont si blessées que rien, pas même leurs petits-enfants, ne semble pouvoir les réconcilier. Jusqu’à ce qu’éclate la Grande Guerre qui les réunira, comme toutes les femmes françaises, dans les mêmes espérances et les mêmes chagrins…
1893, Ouest Bretagne. Gabrielle, la quarantaine, est l’heureuse propriétaire de Roz Avel, l’hôtel-restaurant de la gare, à Landivisiau où son époux est courtier en chevaux. Elle est très liée à Marie, son aînée, dont elle a été la protégée avant de devenir l’amie. Mais le décès de Bart, l’époux de Marie, bouleverse leur vie à tous.
Tandis que Jean-Mi remplace, à dix-neuf ans, son père à la tête des commerces de la famille à Penzé, Marie se réfugie dans la religion dont s’éloigne peu à peu Gabrielle. La politique anticléricale du gouvernement Combes à partir de 1902 accroît les motifs de tension entre elles au point que Marie provoque la rupture des fiançailles entre Jean-Mi et Jeanne, la cadette de Gabrielle, qui s’aiment passionnément. Lorsque sa mère lui apprend que Jeanne, à nouveau amoureuse, se marie, Jean-Mi se résigne à une union de convenance.
Brouillées, les deux amies trouvent le réconfort près des leurs, mais elles sont si blessées que rien, pas même leurs petits-enfants, ne semble pouvoir les réconcilier. Jusqu’à ce qu’éclate la Grande Guerre qui les réunira, comme toutes les femmes françaises, dans les mêmes espérances et les mêmes chagrins…
Commentaires des lecteurs
Des femmes oui mais bretonnes !!!
A ceux qui connaissent la Penzé, Morlaix, Landivisiau et Landerneau, vous plongerez dans cette époque tourmentée que fût la fin du 19è et le début du 20è siècle...et aux autres vous n'aurez qu'une envie, découvrir ces lieux et retrouver l'ambiance ...
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