Solo solo amores, 1001 poèmes
EAN13
9782749277202
ISBN
978-2-7492-7720-2
Éditeur
Erès
Date de publication
Collection
Po & psy in extenso
Nombre de pages
1020
Dimensions
15 x 11,5 x 4 cm
Poids
500 g
Langue
français
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Solo solo amores

1001 poèmes

Traduit par

Erès

Po & psy in extenso

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Miguel Ángel de la Jara Higginson, qui deviendra plus tard le hiéromoine Symeon, est né le 14 mars 1950 à Lima, dans une famille qui a donné au Pérou des écrivains (son arrière-grand-mère, Lastenia Larriva de Llona, était une poétesse et écrivaine prolifique), des artistes et des politiciens (son grand-père a été préfet de Cuzco, d’Arequipa et d’autres régions du Pérou).  À l’adolescence, élève dans une école catholique, il voit le catholicisme d’un œil très critique et cherche ailleurs le sens du mystère, le goût de l’éternité. Il lit Rimbaud et les surréalistes, qui le séduisent par leur anticonformisme et leur quête du merveilleux et de l’absolu.  À l’âge de dix-huit ans, il quitte le Pérou pour Londres et l’Europe. Puis il voyage jusqu’en Inde. II s’intéresse au taoïsme, au bouddhisme et à l’hindouisme, sans y trouver ce qu’il cherche. Il s’installe finalement à Paris, ville dont il rêvait. C’est là qu’il rencontre pour la première fois un moine orthodoxe. Les mots que ce dernier prononce pour résumer ce qu’est l’orthodoxie changent radicalement le cours de sa vie : « Dieu s’est fait homme pour que l’homme puisse devenir dieu par grâce et participation. » En d’autres termes, l’orthodoxie donne à l’homme l’espoir de participer au miracle ici et maintenant. Cette dimension du christianisme, qui s’est préservée dans la tradition hésychaste du monachisme orthodoxe, attire le jeune Miguel Àngel. Il étudie la peinture d’icônes avec Léonide Ouspensky, tandis que son intérêt pour l’orthodoxie s’approfondit.  Il se rend en Grèce en 1972, s’y convertit à la foi orthodoxe et devient novice au monastère de Saint-Georges sur l’île d’Eubée ; de là, la petite communauté se transfère en 1974 au monastère de Saint-Grégoire sur le Mont Athos. Au bout de quelques années, Symeon parle et écrit couramment le grec, publie des poèmes, des essais, des articles théologiques, et donne des conférences, en Grèce et à l’étranger, sur l’orthodoxie et sur le Mont Athos, dont l’une au siège de l’OTAN.  
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