- EAN13
- 9782234064317
- ISBN
- 978-2-234-06431-7
- Éditeur
- Stock
- Date de publication
- 19/10/2011
- Collection
- La cosmopolite
- Nombre de pages
- 312
- Dimensions
- 20 x 14 x 1,6 cm
- Poids
- 352 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- portugais
- Code dewey
- 850
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Autre version disponible
Fable pour éveiller une espérance.
Nous sommes au Brésil à Rio de Janeiro, en pleine Seconde Guerre mondiale, sous l’Estado Novo, dictature militaire proche de l’idéologie nazie qui n’a de cesse de chasser les communistes et de torturer les opposants politiques.
Le grand poète académicien Antonio Bruno apprend la déroute des Français et l’entrée des Allemands dans Paris. Devant une telle défaite, voyant que la barbarie s’installe, il meurt de chagrin. Une place est désormais vacante à l’Académie des Lettres brésilienne ; le colonel Agnaldo Sampaio Pereira, grand admirateur du IIIe Reich, va alors se présenter, persuadé d’être élu à l’unanimité. Mais les académiciens refusent de laisser ce « Goebbels » brésilien briguer le fauteuil des immortels et vont lui imposer un autre candidat, membre de l’armée lui aussi, mais défenseur de la démocratie : le général Waldomiro Moreira. Qui du fascisme ou du libéralisme finira par gagner ? L’armée parviendra-t-elle à trouver sa place au sein du précieux monde des Lettres ?
Avec un humour féroce, Jorge Amado dénonce, dans La bataille du Petit Trianon, la bestialité et la bêtise de l’homme.
Dans une société où les machinations et la perversité sont de mise, ne restent que la littérature et la poésie pour (ré)enchanter le monde et faire éclater sa sensualité.
Nous sommes au Brésil à Rio de Janeiro, en pleine Seconde Guerre mondiale, sous l’Estado Novo, dictature militaire proche de l’idéologie nazie qui n’a de cesse de chasser les communistes et de torturer les opposants politiques.
Le grand poète académicien Antonio Bruno apprend la déroute des Français et l’entrée des Allemands dans Paris. Devant une telle défaite, voyant que la barbarie s’installe, il meurt de chagrin. Une place est désormais vacante à l’Académie des Lettres brésilienne ; le colonel Agnaldo Sampaio Pereira, grand admirateur du IIIe Reich, va alors se présenter, persuadé d’être élu à l’unanimité. Mais les académiciens refusent de laisser ce « Goebbels » brésilien briguer le fauteuil des immortels et vont lui imposer un autre candidat, membre de l’armée lui aussi, mais défenseur de la démocratie : le général Waldomiro Moreira. Qui du fascisme ou du libéralisme finira par gagner ? L’armée parviendra-t-elle à trouver sa place au sein du précieux monde des Lettres ?
Avec un humour féroce, Jorge Amado dénonce, dans La bataille du Petit Trianon, la bestialité et la bêtise de l’homme.
Dans une société où les machinations et la perversité sont de mise, ne restent que la littérature et la poésie pour (ré)enchanter le monde et faire éclater sa sensualité.
Commentaires des lecteurs
Une fable un peu longue
Le sujet avait tout pour me plaire puisque l'histoire entremêle subtilement le monde des lettres, de la résistance face au nazisme et à l'oppression, tout en nous offrant quelques anecdotes croustillantes sur la vie privée des protagonistes. Et pourtant... J'ai ...
Lire la suite