EAN13
9782956023906
ISBN
978-2-9560239-0-6
Éditeur
LES PIQUEURS
Date de publication
Nombre de pages
274
Dimensions
18,5 x 13 x 1,7 cm
Poids
334 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
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La trilogie d'Alexandre

Théâtre

De

Les Piqueurs

Indisponible
"Dans cette épopée brutale, charnelle et désincarnée à la fois, David Arribe (Alexandre), Paula Brunet Sancho (la mère) et Delphine Serina (Anna) sont formidables de justesse et de cruauté."
L’HUMANITE, Gérald Rossi

"La Mante met en scène des personnages sur le fil du rasoir, héritiers des soubresauts qui ont ensanglanté l'Espagne au siècle dernier. Dans cet univers de noirceur, les acteurs font vivre ces êtres de chair et de souffrance avec une passion maîtrisée."
MARIANNE, Jack Dion

"[...] l'écriture est celle d'une tragédie qui se place dans l'ombre de Garcia Lorca et dans l'éclat du grand théâtre espagnol. C’est d'ailleurs à une double tragédie que l'on assiste. La première interroge l'art et les artistes. Que dit un tableau ? A quoi sert l'art ? Quels rapports entretiennent les peintres avec leur temps, avec le pouvoir, avec le public ? La seconde repose sur l'étouffement de l'individu dans une société conservatrice telle que l'Espagne d'il y a quelques décennies dans ses strates catholiques et franquistes. Ce double thème tourne en hélice. Paviot a lui-même mis en scène son texte comme un tableau clair obscur. Il n'y a même plus d'objet ou de lieu. Il n'y que de l'obscurité et de la lumière. Les trois acteurs sont pris par les projecteurs dans des rais latéraux ou des rayons perpendiculaires. C'est l'épure totale ! A l'intérieur de cet éclairage pictural, David Arribe est un magnifique interprète de l'artiste toujours blessé, qui rend coup pour coup à la douleur de la vie et à celle de peindre : il donne une impressionnante intensité à ce personnage de crucifié luttant contre sa crucifixion. Delphine Serina est la muse dans la beauté et la rêverie : elle sait être l'image et la femme qui est l'avers de cette image. Enfin, Paula Brunet Sancho est la mère à l'amour mortifère : elle compose une double représentation du personnage, saisissante dans les deux cas. Tous trois créent une pièce qui parle de l'art à hauteur d'art."
WEBTHEATRE, Gilles Costaz
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