- EAN13
- 9782262095208
- Éditeur
- Perrin
- Date de publication
- 16/11/2023
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - Perrin 24,00
La Fierté de l'Armée russe.
Parmi les adversaires de l'armée napoléonienne, les soldats du tsar ont été
les plus coriaces. Ne disait-on pas à l'époque : " Il ne suffit pas de tuer un
Russe, il faut encore le pousser pour qu'il tombe " ? Ces hommes de fer ont
été commandés par une pléiade de généraux braves et talentueux, dont certains
n'avaient rien à envier aux maréchaux de Napoléon. Ce livre brosse le portrait
des plus célèbres d'entre eux : Barclay de Tolly, Koutouzov, Bagration,
Bennigsen mais aussi de quelques autres moins connus en France : Platov, le
redoutable chef des Cosaques, Yermolov, " la plus mauvaise langue de l'armée
", les frères Toutchkov, exemple typique d'une dynastie militaire, ou bien
encore Miloradovitch, " le Murat russe ". Lors du passage éprouvant des Alpes,
sur les champs de bataille d'Austerlitz et de Friedland, dans la fournaise de
la Moskova, au milieu des glaces finlandaises ou sous les murs de Paris, ils
ont été les acteurs majeurs des guerres européennes. Pour chacun, l'auteur
présente ses origines familiales, son parcours professionnel et personnel,
racontant en détail les faits d'armes, les relations avec le souverain en
place, Alexandre Ier, et avec ses pairs, souvent empreintes de jalousie et de
rivalité. Les récits sont fondés majoritairement sur des sources en langue
russe, inaccessibles aux lecteurs francophones : mémoires, correspondance
privée et officielle, rapports sur les opérations militaires. Un panorama
vaste et varié sur un sujet inédit dans l'historiographie française.
Parmi les adversaires de l'armée napoléonienne, les soldats du tsar ont été
les plus coriaces. Ne disait-on pas à l'époque : " Il ne suffit pas de tuer un
Russe, il faut encore le pousser pour qu'il tombe " ? Ces hommes de fer ont
été commandés par une pléiade de généraux braves et talentueux, dont certains
n'avaient rien à envier aux maréchaux de Napoléon. Ce livre brosse le portrait
des plus célèbres d'entre eux : Barclay de Tolly, Koutouzov, Bagration,
Bennigsen mais aussi de quelques autres moins connus en France : Platov, le
redoutable chef des Cosaques, Yermolov, " la plus mauvaise langue de l'armée
", les frères Toutchkov, exemple typique d'une dynastie militaire, ou bien
encore Miloradovitch, " le Murat russe ". Lors du passage éprouvant des Alpes,
sur les champs de bataille d'Austerlitz et de Friedland, dans la fournaise de
la Moskova, au milieu des glaces finlandaises ou sous les murs de Paris, ils
ont été les acteurs majeurs des guerres européennes. Pour chacun, l'auteur
présente ses origines familiales, son parcours professionnel et personnel,
racontant en détail les faits d'armes, les relations avec le souverain en
place, Alexandre Ier, et avec ses pairs, souvent empreintes de jalousie et de
rivalité. Les récits sont fondés majoritairement sur des sources en langue
russe, inaccessibles aux lecteurs francophones : mémoires, correspondance
privée et officielle, rapports sur les opérations militaires. Un panorama
vaste et varié sur un sujet inédit dans l'historiographie française.
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