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8,90

Comment Aurel Timescu peut-il être Consul de France ? Avec sa dégaine des années trente et son accent roumain, il n’a pourtant rien à faire au Quai d’Orsay. D’ailleurs, lui qui déteste la chaleur, on l’a envoyé végéter en Guinée où il prend son mal en patience. Tout à coup survient la seule chose qui puisse encore le passionner : un crime inexpliqué. Un plaisancier est retrouvé mort, suspendu au mât de son voilier. Son assassinat resterait impuni si Aurel n’avait pas trouvé là l’occasion de livrer enfin son grand combat contre l’injustice.


9,90

Violette Toussaint est garde-cimetière dans une petite ville de Bourgogne. Les gens de passage et les habitués viennent se confier et se réchauffer dans sa loge. Avec la petite équipe de fossoyeurs et le jeune curé, elle forme une famille décalée. Mais quels événements ont mené Violette dans cet univers où le tragique et le cocasse s’entremêlent ?
Après le succès des Oubliés du dimanche, un nouvel hymne au merveilleux des choses simples.

Prix Maison de la Presse 2018.

Dans la presse :
Gros, gros gros coup de cœur. Un livre splendide, bouleversant. Mon livre de l’année 2018, une claque magistrale.
Bulledop, C’est au programme.

Un contraste entre rire et larmes qui fait mouche.
Baptiste Liger, Lire.

Tonnerre d’applaudissements. Et, croyez-nous, le mot « tonnerre » n’est pas trop fort.
Anne-Marie Mitchell, La Marseillaise.

À couper le souffle.
Christophe Rivet-Maris, Unidivers.

On nage en plein bonheur.
Nathalie Dupuis, Elle.


8,50

Paru en 1997, Les Fils de la poussière, premier roman d’Arnaldur Indridason, a ouvert la voie au polar islandais en permettant à ce genre littéraire d’accéder enfin à la reconnaissance et d’acquérir ses lettres de noblesse en Islande.

Le récit s’ouvre sur le suicide de Daniel, quadragénaire interné dans un hôpital psychiatrique de Reykjavík. Au même moment, un vieil enseignant, qui a eu Daniel comme élève dans les années 60, meurt dans un incendie. Le frère de Daniel essaie de découvrir ce qui liait ces deux hommes et comprend graduellement que, dans les années 60, certains enfants ont servi de cobayes dans le cadre d’essais pharmaceutiques et génétiques qui ont déraillé…

L’enquête est menée parallèlement par le frère de Daniel et par une équipe de policiers parmi lesquels apparaît un certain Erlendur, accompagné du jeune Sigurdur Oli et d’Elinborg.

Dès ce premier roman, on trouve tous les éléments qui vont faire le succès international qu’on connaît.

Au moment où il écrit ce roman, après des études d’histoire, Arnaldur Indridason est journaliste chargé de la rubrique cinéma dans le principal journal de Reykjavík. Il est le fils d’un écrivain reconnu, ce qui est aussi un défi.


9,40

Il y a huit ans, Malin, alors adolescente, a découvert une fillette enterrée dans la forêt de Ormberg, une ville suédoise isolée. On n'a jamais pu identifier la petite victime. Devenue une jeune flic ambitieuse, Malin est affectée auprès de Hanne, la célèbre profileuse, et de l'inspecteur Peter Lindgren qui reprennent l'affaire. Mais Peter disparaît du jour au lendemain, et Hanne est retrouvée blessée et hagarde dans la forêt. L’unique témoin est un adolescent qui erre dans les bois. Sans le dire à personne, celui-ci récupère le journal que Hanne a laissé tomber et se met à le lire, fasciné... Désormais seule dans son enquête, Malin est appelée sur les lieux du tout premier crime : une nouvelle victime a été découverte. Et si tous ces faits étaient tragiquement liés ?

Une intrigue de haute volée, bourrée de rebondissements. Même à quelques pages de la fin… Janik Le Caïnec, Ouest France.

La reine du polar polaire. Valérie Robert, Version Femina.

Glass Key Award

Prix du Meilleur Polar Suédois

 

 

 

Traduit du suédois par Anna Postel.


Éditions Gallmeister

12,60

À quatorze ans, Turtle Alveston arpente les bois de la côte nord de la Californie avec un fusil et un couteau pour seuls compagnons. Mais si le monde extérieur s’ouvre à elle dans toute son immensité, son univers familial est étroit et menaçant : Turtle a grandi seule, sous l’emprise d’un père charismatique et abusif. Jusqu’au jour où elle rencontre Jacob, un lycéen blagueur qu’elle intrigue et fascine à la fois. Poussée par cette amitié naissante, Turtle décide alors d’échapper à son père et plonge dans une aventure sans retour où elle mettra en jeu sa liberté et sa survie.

À propos du livre
Un livre lauréat du Prix America du meilleur roman étranger, Prix de l’Héroïne de Madame Figaro, Prix Marianne d’Un aller-retour dans le Noir, Prix Libr’à nous, Prix Lucioles des lecteurs et prix Mystère de la critique

Dans la presse
Un amour absolu, intransigeant, abominable, qui rappelle un personnage de mythes : l’ogre. L’ogre, ça vient du latin orcus, c’est-à-dire lié au monde des morts. Un homme sauvage qui mange les petits enfants, et pas du tout théoriquement parlant. On le sait depuis toujours, les enfants vivent parfois des choses abominables, parfois ils s’en sortent.
Juliette Arnaud, FRANCE INTER

Le roman le plus puissant, le plus dérangeant, et le plus profond que j'ai lu depuis des années.
François Busnel, LA GRANDE LIBRAIRIE - FRANCE 5

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