Avec Caroline Hinault
Le , au Café Littéraire de votre librairie LE FORUM DU LIVRE

À l'occasion de la sortie de son ouvrage "Traverser les forêts" aux éditions Le Rouergue, venez rencontrer Caroline Hinault dans notre café littéraire le Jeudi 11 Avril à 18h.

A propos du livre :
Trois femmes, une forêt.
La forêt c'est la dernière forêt primaire d'Europe, aux confins de la Pologne. Un sanctuaire sauvage peuplé d'une grande faune disparue ailleurs.
C'est là que vit Véra, journaliste biélorusse exilée depuis le printemps au milieu des arbres et des bêtes.
C'est là qu'est revenue s'installer Nina, elle qui a rêvé que sa beauté lui ouvrirait les portes de l'Occident mais qui, remâchant ses illusions perdues, occupe avec son fils l'ancienne maison forestière de ses parents.
C'est là, enfin, dans cette « zone rouge » où patrouillent désormais les militaires, qu'Alma tente de franchir la frontière.
Sans qu'elles le sachent, la forêt va entremêler le destin de ces trois femmes. Mais comment traverser ce labyrinthe ? Quelle direction prendre ?
Révélée par son formidable Solak, couronné de plusieurs prix littéraires, Caroline Hinault signe ici, sur les traces de la Divine Co médie de Dante, un magnifique deuxième roman inspiré d'événements ayant eu lieu à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie à l'automne 2021. Ses trois héroïnes, plongées au coeur de la forêt primaire, y explorent chacune une part de nos peurs et de nos désirs les plus profonds, et la façon dont le langage peut chercher à se faire contre-frontière poétique.

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Pascal Janovjak

Actes Sud

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19 février 2024

Giardino zoologico

« Le 5 janvier 1911 on inaugura le Jardin zoologique de Rome. » De Mussolini et sa lionne Italia aux millions d’animaux ramenés des colonies africaines, des sourires des actrices de Cinecittà jusqu’aux vagues de privatisations, une certaine histoire de l’Italie, traitée sur un mode presque burlesque, se donne à voir à travers le devenir de ce zoo. À chaque époque, ce sont les animaux qui en pâtissent et cela dit beaucoup de l’homme. Car si on s’amuse beaucoup, le vertige sait aussi nous saisir face à Oscar, le dernier tamandin/tamanoir, et sa solitude existentielle épiée par des milliers d’yeux avides.