- EAN13
- 9782924325728
- Éditeur
- La Draiglaán Éditions
- Date de publication
- 20/03/2024
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Livre numérique
-
Aide EAN13 : 9782924325728
- Fichier EPUB, avec Marquage en filigrane
8.99
Vous êtes le plus solide de nos filins composés de cinq brins représentant vos
vies, nos racines et nos espoirs. Vos liens sont indéfinissables, mais chacun
de vous représente un solide fil et celui-ci est directement entrelacé avec
les autres. Si l’un se brise, le filin se cassera…
Il y eut un commencement… Accharion, dieu suprême des Mohirimm, bannit son
fils Maximilien du panthéon ainsi que toute une génération de divinités les
envoyant vivre sur des îles, dont celle d’ALIX.
Il y eut l’amour… Mohira, Maximilien II, Christobal, Guilhem II et Nicolaï.
Cinq comme une étoile lumineuse à cinq branches. Cinq vies reliées les unes à
travers les autres.
Et il y eut la mort…
«Je la trouvai sur le sol. Là, inerte. Mon amour, ma vie. Elle ne respirait
plus et son cœur ne battait plus… nous allions donc tous mourir… tous…
Assis sur le sol, portant dans mes bras Mohira d’Accharion, mon ange, je
l’embrassai tendrement, juste avant. Juste avant que j’enfonce profondément ma
dague dans mon propre cœur. Juste avant que je me donne la mort. Et je la
gardai tout contre moi, jusqu’à temps que la vie, telle que je l’avais connue
jusqu’ici, ne me quitte.»
Si l’un des brins se brise, le filin se cassera…
vies, nos racines et nos espoirs. Vos liens sont indéfinissables, mais chacun
de vous représente un solide fil et celui-ci est directement entrelacé avec
les autres. Si l’un se brise, le filin se cassera…
Il y eut un commencement… Accharion, dieu suprême des Mohirimm, bannit son
fils Maximilien du panthéon ainsi que toute une génération de divinités les
envoyant vivre sur des îles, dont celle d’ALIX.
Il y eut l’amour… Mohira, Maximilien II, Christobal, Guilhem II et Nicolaï.
Cinq comme une étoile lumineuse à cinq branches. Cinq vies reliées les unes à
travers les autres.
Et il y eut la mort…
«Je la trouvai sur le sol. Là, inerte. Mon amour, ma vie. Elle ne respirait
plus et son cœur ne battait plus… nous allions donc tous mourir… tous…
Assis sur le sol, portant dans mes bras Mohira d’Accharion, mon ange, je
l’embrassai tendrement, juste avant. Juste avant que j’enfonce profondément ma
dague dans mon propre cœur. Juste avant que je me donne la mort. Et je la
gardai tout contre moi, jusqu’à temps que la vie, telle que je l’avais connue
jusqu’ici, ne me quitte.»
Si l’un des brins se brise, le filin se cassera…
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